Nature et architecture au Madhya Pradesh

Khajuraho, dérivé du sanskrit Kharjur signifie « palmier datier ». Ici, à l’entrée du site archéologique.

État frontière entre le nord et le sud de l’Inde, le Madhya Pradesh se trouve juste au centre du pays. Il est cerné par le Bihar à l’est, lieu de l’Éveil du Bouddha à Bodhgaya, l’Uttar Pradesh au nord où resplendit le Taj Mahal, le Rajasthan à l’ouest avec ses palais de maharajas et son désert de sable, le Gujarat au sud-ouest où le Mahatmat Gandhi naquit à Porbandar.

Le MP permet de découvrir ses splendeurs sans l’affluence des touristes à cette période. Il faut savoir que nous sommes entrés dans la saison chaude qui va durer trois mois avant la saison des pluies. Dans cette région rurale et agricole, il faisait déjà 38°C dès 10 heures le matin. Il était donc difficile de poursuivre des visites de sites à ciel ouvert dans l’après-midi. Nous étions soit dans les musées, les palais … ou au fond du lit à faire la sieste comme le font les Indiens. Toutes activités tournent alors au ralenti jusqu’à 16-17 heures avant le rush de la soirée.

Cet État ne comporte pas moins de trois sites classés au patrimoine mondial de l’Unesco : Khajuraho, Sanchi et Bhimbekta et cinq autres sur la liste indicative des sites du patrimoine mondial. Nous en avons visité deux : les temples de Khajuraho et le Mahastupa (Grand Stupa) de Sanchi.

Notre séjour du 1er au 15 avril a été très varié, rendant le voyage inoubliable. Nous avons parcouru plus de 1400 kilomètres sur des routes pas toujours bonnes dans une voiture de location avec chauffeurs (Heera puis Mohan) au départ de Bhopal, puis Sanchi, Jabalpur, Bandhavgarh, Panna, Orchhâ et enfin Gwalior. Sur le long trajet qui nous ramenait à Delhi en fin de voyage, nous avons adoré revoir le Taj Mahal à Agra en fin de journée et le mausolée d’Utimad-ud-Daulab appelé « Baby Taj », précurseur du Taj Mahal, le lendemain avant le départ.

A 18h30, le ciel est légèrement voilé et le soleil déjà trop bas pour apprécier les teintes rose du Taj Mahal. Néanmoins, le revoir, sans doute une dernière fois, est un moment d’intense émotion.

Nous avons vu des merveilles d’architecture entre forteresses, palais, temples, mosquées et stupas, des superbes sculptures dont de nombreuses érotiques (toujours fascinant !). Nous nous sommes régalés dans de beaux parcs nationaux de forêts essentiellement constituées de tecks. Au cours de nos safaris, nous avons recherché des tigres du Bengale mais également des sambars (l’un des plus grands cervidés du monde), des blue bulls (taureau bleu ou nilgaut), des chacals, de nombreux paons et singes, des vautours, des biches et en un autre lieu, des crocodiles.

L’histoire complexe et violente du MP a donné naissance à une richesse incontestable, à tant de beauté qui en fait un joyau aujourd’hui. Il a été traversé par d’innombrables empires, de royaumes, de sultanats et de dynasties locales (à l’instar de celle des Scindia, toujours présente à Gwalior) qui ont combattu, qui ont vaincu ou ont été vaincus, chacun laissant sa « marque de fabrique » ; l’art et la culture se placent au-dessus de tout carnage. On retiendra la dynastie des Gupta, celle des Maurya, celles, rajputes, des Paramara et des Chandela. Les luttes internes entre Hindous et Musulmans dès le XIème siècle secouèrent le Madhya entre les dynasties musulmanes des Ghurides et des Khalji et celles hindous des Bundela et des Tomar, laissant une architecture remarquable. Nous en avons vu beaucoup et avons toujours été frappés par ces splendeurs, nous voulions en voir encore.

D’abord les paysages. Vastes plaines aux sols fertiles où les cultures du blé et de l’orge dominent. Nous arrivons au milieu des moissons laissant dans les champs fauchés le chaume sec et dru. En d’autres endroits, les épis se balançaient au gré des vents en une ondulation sensuelle. Les paysans travaillaient dans les petites parcelles de façon ancestrale, utilisant la faucille pour couper les céréales, constituant de petites bottes transportées à bras le corps, ficelées à la main et entassées en de plus grosses meules. Plus loin, sur une grande parcelle, les moissonneuses s’activaient, recrachant le blé ou l’orge de leur bouche mécanique en tas et dont les particules s’envolaient au vent. Les hommes sur les machines, les femmes courbées en deux, leurs bras comme seul outil. La chaleur partout écrasante. A la nuit tombée, des silhouettes fantomatiques, sans doute éreintées, finissaient le travail de la journée sous une température plus clémente. Sur les routes, les tracteurs étaient surchargés des récoltes transportées dans les coopératives. A l’arrière des camions de ramassage, les ouvriers agricoles étaient entassés comme du bétail, trop nombreux pour pouvoir s’assoir ; à chacun son karma. Nombre d’enfants n’étaient sans doute pas scolarisés, bras supplémentaires pour soulager la tâche. Dans le MP la nature est blonde, dorée, verte et brune. Il n’y a pas de rizières et les oignons succéderont aux céréales.

Ensuite les parcs nationaux. Le MP n’en compte pas moins de six plus une réserve ornithologique. Nous avons fait un safari à Bandhavgarh ou nous n’avons pas vu de tigres, et un second à Panna. Ce parc est une réserve de biosphère reconnue par l’Unesco depuis 2020.

Dans le village paisible de la fin du jour, les enfants jouent au cricket sous le regard d’un père.

Et là, bingo ! Une tigresse dans les hautes herbes près d’une rivière et ses quatre petits qui s’ébattent. Vus à l’œil nu. Notre guide nous a prêté ses jumelles. Les photos ne sont pas nettes quand on n’a pas un appareil photo reflex numérique muni d’un objectif d’un demi-mètre de long, mais nous les avons vus. Quelle joie ! Quelle excitation ! Nous sommes restés un long moment à attendre, à les entre-apercevoir, à les voir, à sentir leur présence dans l’insouciance des petits qui chahutaient gaiement, la mère se faisant plus discrète.

Et enfin, il a fallu partir à la recherche d’autres lieux, tentant notre chance et priant les Dieux pour que nos vœux soient exaucés ! Re-bingo ! Nous « tombons » cette fois, fait rare d’après notre guide-ranger, sur une maman ours lippu et son petit, puis plus loin, deux autres.

Ces ours ont été longtemps la proie au braconnage, mutilés, torturés et domptés violemment et cruellement, forcés à faire des performances de danses dans les rues pour le plaisir des touristes. Voir des animaux sauvages dans leur milieu naturel paraît être aujourd’hui une chose extraordinaire tant cela procure de vives émotions. Et pourtant, pauvres d’eux, ce sont des espèces en danger et/ou en voie de disparition et c’est bien de les observer dans leur habitat naturel protégé.

Nous avons aimé ces heures passées ballotés dans des jeeps raides et inconfortables dès l’aube, à peine réveillés, pas douchés, sans café, enveloppés dans une couverture que l’on a bien voulu nous prêter parce qu’il faisait froid avant le lever du soleil à Bandhavgarh mais pas à Panna. Huit heures, pause petit-déjeuner. Rassemblement de quelques jeeps sur une aire où les provisions s’entassent sur des tables de fortune : œufs durs, sandwiches, galettes, une brique de jus de fruits et de l’eau. Mais cela fait du bien ! Vers 11 heures du matin, retour au campement pour une douche et un peu de repos tant attendu avant de reprendre la route.

Les édifices. Dans le MP ils sont blancs, rouges, rose ou ocre. L’architecture est moghole, hindoue, bouddhique ou de style britannique à l’instar de la vieille ville moghole à Bhopal, du Grand Stupa bouddhique à Sanchi, des temples hindous à Khajuraho, des temples hindous et des palais moghols à Orchhâ, de la forteresse moghole et du palais british du maharaja à Gwalior. Des sites classés entretenus aux bâtiments décatis gardant fière allure, c’est l’histoire qui nous tombe dessus et dans laquelle on se perd.  Car les guerres de pouvoir successives, les empires qui se font et se défont donnant forme aux États d’aujourd’hui, la religion hindoue omniprésente nous étourdissant par la vie des dieux et des déesses sous leur forme humaine ou cachés sous leurs nombreux avatars, revient, en quelque sorte, à chercher des petites pièces d’un gigantesque puzzle que l’on ne saurait trouver et encore moins placer. Mais ce que nous retiendrons, ce sont les traces indélébiles présentes aujourd’hui ainsi que les explications captivantes de notre guide.

Ensuite les villes. Les villes indiennes sont ce qu’elles sont. Toujours bruyantes, sales, poussiéreuses et embouteillées. Certaines plus miséreuses que d’autres mais, globalement, nous avons trouvé plus de pauvreté ici qu’ailleurs : travailleurs et ouvriers précaires, nomades gardiens de troupeaux de chèvres, de moutons ou de dromadaires. Des mendiants un peu partout mais aussi des jeunes déscolarisés travaillant dans les boutiques ou prêtant mains fortes dans les champs. Et toujours la rencontre de jeunes enfants crasseux dans les rues, ne portant parfois qu’un short. Les guides touristiques indiquent que le Madhya Pradesh est une région peu touristique, hormis le tourisme indien et pourtant intéressant pour les touristes occidentaux que nous sommes. Alors que la terre est fertile, que les sites classés rapportent de l’argent – on voit bien à Khajuraho, ville modèle de propreté avec cinq hôtels 5 étoiles – et que le tourisme est actif, les retombées économiques ne profitent pas à la population.

Le jardin du Jehan Numa Palace à Bhopal où se trouve le restaurant « Under the mango tree ».

Le ruissellement par le haut ne fonctionne pas. N’est-il pas surprenant que le maharaja de Gwalior qui s’est amputé une partie de son somptueux palais, transformé en musée, fort intéressant soit dit en passant, fasse payer le billet d’entrée 300 INR pour les Indiens et 850 INR pour les étrangers alors que tous les musées coûtent entre 25 et 50 INR pour les Indiens et 400 et 600 INR pour les étrangers ? A qui cela profite-t-il ? Certainement pas au pauvre hère.

Vue sur Bhopal depuis le lac supérieur

Bhopal, capitale du MP, a fière allure avec ses lacs qui coupent la ville en deux. La vieille ville à majorité musulmane recèle des mosquées et le chowk. Comme partout, ces ruelles sont bondées et très animées. Il fait très chaud et pourtant tout le monde fait des achats. Cette ville fut jadis gouvernée par quatre générations de bégums, ces souveraines musulmanes qui n’étaient certainement pas reléguées derrière des moucharabiehs, invisibles. Des trois mosquées que nous avons visitées (Tal-Ul-Masjid, réplique de la Grande Mosquée à Delhi et la 3ème plus grande au monde, Jama Masjid la populaire et Moti Masjid, « la Perle »), c’est assurément cette dernière que nous avons préférée au point de nous y être posés un long moment, à l’ombre et dans la relative fraîcheur de ses coursives à colonnades, à regarder femmes, hommes et enfants parler, jouer et prier dans une ambiance sereine.

Le parcours dans la vieille ville nous a aussi conduits au Gohar Mahal, le premier palais d’une bégum qui régna de 1819 à 1837 qui surplombe le lac supérieur. Un gardien nous a conduits de par les cours intérieures ornementées de manguiers et de belles fontaines et terrasses successives, en échange de quelques roupies. Le musée archéologique révèle des sculptures du MP des XIème-XIIème siècles, en pierre, en bronze de toute beauté et la surprise revient au musée tribal construit en spirale. Il abrite des œuvres crées par 1500 membres des ethnies locales à partir de matériaux provenant de leurs villages.

Musée tribal à Bhopal. Jeux d’enfants
Vue de Gwalior depuis la citadelle

La forteresse millénaire de Gwalior surplombe la ville. En gravissant – en voiture – la colline, des statues monumentales ont été taillées dans la roche au milieu du XVème siècle.

Avant d’accéder à la forteresse par la porte de Gwalior à l’ouest,
ces statues taillées dans la roche impressionnent.

Ces représentations des 24Tirthankaras, maîtres jaïns divinisés, sont nues, debout ou assises. L’histoire passant par-là, les moghols les défigurèrent au XVIème siècle, vengeance et preuve de la suprématie du pouvoir.

Vue du palais Man Singh après avoir traversé la porte de Gwalior
1ère cour intérieure du palais

Le palais Jai Vilas, construit par les prisonniers de la citadelle en 1874, abrite le musée Scindia. Cela n’a pas du coûter très cher au magnanime maharaja Jayajirao !

Pour la petite histoire, dans le Durbar Hall, salle de réception, le plafond supporte deux gros lustres qui sont supposés être les plus grands avec leur 12,5 mètres de haut, les plus gros et les plus lourds au monde avec 3,5 tonnes chacun. Et pour s’assurer de la solidité dudit plafond, on aurait introduit dix éléphants à l’étage juste au-dessus ! Sous les lustres, le plus grand tapis d’Asie a été tissé avec 560 kg de fil d’or, grâce aux prisonniers de la citadelle qui y travaillèrent pendant 12 ans. On en est où dans le droit du travail ?

Façade principale de ce palais mégalomaniaque
35 pièces du palais sont consacrées au musée
Avant de quitter Gwalior, passage obligé à l’Indian Coffee House,
établissement auto-géré en coopérative par les employés.
Grand Stupa de Ashoka, IIè. siècle av. J.-C., Sanchi

Enfin les sites. Sanchi n’est pas loin de Bhopal et voit s’élever sur une colline les plus anciens  monuments bouddhiques du pays. Ce site classé comporte un grand ensemble composé de stupas, monastères, temples et colonnes. Le Grand Stupa est évidemment « la pièce maîtresse » de ce site. Nous choisirons une visite guidée qui nous montrera l’essentiel de l’histoire dans les détails de l’architecture.

Torana – Portique. Chaque torana comporte deux piliers sculptés sur trois faces.

Fait saisissant, les quatre toranas, les portiques, ont été érigés deux siècles après le stupa, en 35 av. J.-C.

Les scènes sculptées sur les trois faces des piliers retracent les récits des vies antérieures du Bouddha. A cette époque, l’art ne représentait pas le Bouddha, mais sa présence était évoquée par des symboles. Passionnant !

Le site compte aujourd’hui 25 temples sur les 85 construits entre le Xè. et le XIè. siècle
sous la dynastie des Chandela.
A gauche, temple dédié à Shiva, à droite, à son épouse Parvati, Khajuraho
Sur l’ensemble, seul un temple est dédié à Vishnou et un autre est multiconfessionnel.

Khajuraho est sans doute l’endroit qui nous aura le plus marqué. L’ensemble est dans un état de conservation extraordinaire. Son magnifique parc clos de murs d’enceinte abrite le groupe ouest, un ensemble de temples qui nous a émerveillés et subjugués. D’une architecture audacieuse, les hautes flèches sont des montagnes qui rapprochent des Dieux.

Les hauts et bas-reliefs finement gravés et sculptés montrent une série de scènes d’amour et l’on se plaît à observer attentivement les acrobaties que cela entraîne et la charge érotique que cela renvoie. 

Contrairement à son voisin, l’éléphant de droite est plus intéressé et amusé par les ébats près de lui.

Il est bien sûr question des 69 positions du Kâma-Sûtra. On y emmenait les jeunes filles en âge d’être mariées afin qu’elles s’accoutument au plaisir amoureux à prodiguer à leur futur époux. Je pense que les hommes en apprenaient aussi beaucoup ! Plus loin, les groupes sud et est avec d’autres petits temples de moindre envergure.

La déambulation dans le vieux village nous a ravis et bien sûr, l’arrêt dans un atelier Indian Handicraft s’est imposé. Nous y avons trouvé un petit bronze de style tribal de belle facture. Hop ! C’est emballé !

Coucher de soleil sur les cénotaphes, le ghât et le fleuve Betwa, Orchhâ
Palais Jehangir Mahal, Orchhâ
Le palais, vue du temple de Chaturbhuj
Palais Raj Mahal, face au Jehangir Mahal, Orchhâ

Le village d’Orchhâ. Ce village indien correspondrait plutôt à un gros bourg en France. Les rues sont animées et il y a du bruit. Moins qu’ailleurs, mais quand même. Ce qui nous surprend, c’est la tranquillité qui s’y dégage. On s’y sent bien de suite. Le petit bazar est charmant, les monuments historiques moghols donnent du cachet à ce lieu. On est partagés entre les incantations assourdissantes deux fois par jour en l’honneur de Rama dans le temple au cœur du village et la quiétude d’un petit ghât qui plonge dans le fleuve Betwa, animé matin et soir par les rituels immersion-prière-lavage, non loin duquel se dressent les royaux chhatri, cénotaphes des sultans et de leurs clans, des siècles passés.

Temple-palais de Ram Raja, XVIè. siècle. Construit pour l’épouse d’un Shah, il devient « temple » après qu’on y a déposé une effigie du dieu Rama en attendant la construction du temple de Chaturbhuj voisin. Mais une effigie de Rama ne peut être déplacée une seconde fois !
Cénotaphes vus du ghât

Sur une petite hauteur et traversé le pont rikiki qui enjambe un petit bras du fleuve, les deux palais surplombent le village ; le Raj Mahal (XVIème siècle) et le Jehangir Mahal (achevé au XVIIème siècle), magnifique ensemble fortifié édifié par la dynastie des Bundela, vidés de toute vie, ne laissant que quelques traces de peinture du faste et de leur histoire. Entre les deux palais, un bâtiment servait à recevoir les invités, aujourd’hui transformé en hôtel géré par le Madhya Pradesh Tourism où nous résidions. L’accueil y était chaleureux et les vastes chambres luxueuses.

Dans le temple de Chaturbhuj, un auto-proclamé guide nous a ouvert les portes d’accès aux niveaux supérieurs.

A monter les hautes marches inégales en colimaçon le long de conduits sombres, il nous a entraînés jusque sur les toits-terrasses, au niveau des flèches, et nous avons été enthousiasmés par les perspectives, par la présence des nombreux singes et vautours qui ont élu domicile sur les toitures de pierre ainsi que par la vue sur les environs.

La dernière soirée à Delhi a été délicieuse en compagnie de la collègue amie d’Éric. Un bon restaurant, du bon vin et une fin de soirée autour d’une coupe de champagne. Quoi de mieux avant le retour ?

6 réponses sur “Nature et architecture au Madhya Pradesh”

  1. O’ Brother,
    Magnifiquement documenté par de nombreuses informations, tu offres aux lecteur-rice-s un voyage _ dont un Safari _ extraordinaire !
    J’ai retrouvé certaines photos _ reçues lors de nos échanges _ notamment celles du Musée tribal à Bhopal, entre autres et cela m’a fait plaisir de les revoir …
    J’éprouve un grand plaisir de vous avoir suivi _ aussi par le biais de ton blog, alors « Bravo »
    Bons baisers timidement printaniers,
    Ta Sis

    1. Hey Sis,
      Presque toujours la première à lire et commenter et ce, depuis la première heure. Merci. Toujours aussi enthousiaste également, ce qui me fait plaisir. Je pense ainsi « toucher » mes lecteur-rice-s à travers les récits de nos voyages et de notre vie indienne.
      Le temps passe, il reste des articles à venir à écrire et je sais déjà que les derniers seront rédigés de France. Cela fait drôle d’y penser.
      Bons baisers chaudement au rythme de la saison.
      Ton Bro’

  2. Alors je serai là 2e à commenter ! Mais que dire de plus ? C’est magnifique, je me régale, tu nous enchantes… il raconte bien… nous lirons la suite avec plaisir et vous vivrez encore quelques aventures avant de rentrer. Vos expériences indiennes resteront dans votre cœur et dans notre mémoire. Peut-être que ces récits s’imprimeront et resteront sur le papier. En tout cas, l’Inde nous fascinera toujours autant. Merci. Je vous embrasse. Profitez bien !
    Patricia

    1. Et oui, Patricia, toi et ma sœur êtes sur les starting-blocks et je suis moi, le premier à attendre vos commentaires toujours impatiemment !!! Merci d’avoir toujours été présente et encourageante. Sur une autre version que le blog, le temps me le dira, on verra. Un autre grand chantier en perspective 😉
      Mais je suis aussi et surtout content que mes récits vous enchantent ; les illustrations aident beaucoup d’ailleurs.
      Il restera beaucoup dans notre mémoire, des images, des émotions indélébiles.
      On t’embrasse.
      Xtian & Éric

  3. Un grand merci pour ce voyage par procuration.
    Que de merveilles insoupçonnées.
    Tes photos, tes commentaires me donnent envie de me rendre au plus vite en Inde alors que les précédents témoignages m’en avaient plutôt éloignée.
    J’attends toujours avec impatience l’article suivant.
    Bon courage et à très vite.
    Claudie

    1. Coucou Claudie,
      Toujours un plaisir de te retrouver dans les commentaires et heureux que ton regard, même par procuration, ait changé sur cet Asie si complexe. Mais les merveilles sont parlantes et touchent tout le monde !
      L’article suivant nous mènera hors de l’Inde qui a pourtant un ancrage certain avec le sud et le Tamil Nadu plus précisément. A suivre donc !
      Bonne continuation et, oui j’espère, à très vite.
      Christian

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